
Lieux de mémoire
Région frontalière, parcourue par des frontières mouvantes au fil des siècles et, traversée par la Ligne de Démarcation pendant la Seconde guerre mondiale, la Bourgogne-Franche-Comté est riche en lieux de mémoire et fortifications.
La Route des abolitions de l'esclavage
Si on fait abstraction des sites Vauban, le plus ancien site de la destination Bourgogne-Franche-Comté est le fort de Joux où Toussaint Louverture vécut ses derniers mois. Il fait partie de la Route des Abolitions de l’esclavage, un réseau en pleine expansion. Les autres points forts en sont la Maison de la Négritude et des Droits de l’Homme à Champagney ainsi que la maison familiale d’Anne-Marie Javouhey à Chamblanc.
La Maison de la Négritude

Les temps de guerre
Les vastes forêts du Morvan et du Jura ont abrité d’importants maquis. En témoignent les Musées de la Résistance de Besançon et de Saint-Brisson. Dans le village martyr de Dun-les-Places, un mémorial et un parcours dans le village, équipé d’outils d’interprétation numérique, sont dédiés aux victimes du massacre de juin 1944, auxquels s’ajoute un itinéraire de 21 stations liées à la Résistance dans le Morvan.
A Génelard, un centre d’interprétation est installé à proximité du canal du Centre où se situait un des postes de contrôle de la Ligne de démarcation.



Les lieux de mémoire de la région



